L'Olympique de Marseille a obtenu une victoire cruciale face à Newcastle United (2-1) mardi soir et a ainsi préservé ses chances de qualification pour les phases finales de la Ligue des Champions. Pierre-Emerick Aubameyang a renversé la rencontre avec un doublé éclair en cinq minutes au retour des vestiaires.
Le match a basculé en un instant. Après une première mi-temps où l'attaquant gabonais avait gâché quatre occasions nettes et où l'OM était mené 1-0, Aubameyang a trouvé la solution. À peine 30 secondes après la reprise, il a égalisé d'un ballon enroulé au millimètre sur une passe de Darryl Bakola (1-1, 46e). Moins de cinq minutes plus tard, l'avant-centre de 36 ans a repris parfaitement le centre de Timothy Weah pour donner l'avantage aux Marseillais (2-1, 49e).
Un début catastrophique
Les dix premières minutes ont été cauchemardesques pour l'OM. Harvey Barnes a ouvert le score dès la 6e minute après un alignement défectueux de Weah. Leonardo Balerdi avait déjà écopé d'un carton jaune à la 3e minute, et Pierre-Emile Hojbjerg avait dû dégager un ballon sur sa ligne à la 5e. Une fébrilité qui aurait pu coûter très cher.
Marseille a ensuite repris le contrôle du match mais s'est heurté au savoir-faire de Newcastle, féroce au pressing et remarquablement regroupé en défense. Aubameyang a buté sur le gardien Nick Pope aux 17e et 18e minutes, puis n'a pas cadré ses tentatives de la tęte et du pied aux 37e et 40e minutes sur deux services parfaits de Mason Greenwood.
Une victoire qui vaut de l'or
Cette victoire courageuse permet à l'OM de repasser du bon côté de la barrière au classement. Au coup d'envoi, les Marseillais étaient 25e et virtuellement éliminés. Mardi soir, ils occupent la 19e place et une position de barragiste, plus confortable avant le déplacement en Belgique face à l'Union Saint-Gilloise dans deux semaines.
Pour une fois, Marseille a tenu bon en fin de match et n'a pas abandonné de points comme trop souvent cette saison en Ligue des Champions. La défense a très bien fonctionné lors d'une deuxième période intense et brûlante. Roberto De Zerbi avait surpris en titularisant Darryl Bakola, 17 ans seulement, un pari qui s'est révélé payant.
Note : Cet article a été créé avec l'Intelligence Artificielle (IA).









