L'Élysée annonce le gel de son budget pour 2026 à 122,6 millions d'euros, marquant la deuxième année consécutive sans augmentation. Cette décision s'inscrit "dans un souci d'exemplarité et de solidarité dans une période où tout le monde doit se serrer la ceinture", selon la présidence.
Comme le confirme La Tribune Dimanche, cette stabilité budgétaire cache en réalité une baisse des crédits de fonctionnement. Avec l'inflation et l'évolution naturelle de la masse salariale, l'impact économique réel représente une diminution effective des ressources disponibles.
Un geste symbolique de solidarité nationale
La présidence de la République maintient ainsi le męme niveau de dotation qu'en 2024 et 2025. Cette approche s'inscrit dans une démarche plus large de rigueur budgétaire, l'Élysée montrant l'exemple face aux défis économiques actuels.
Au 31 décembre 2024, la présidence employait 822 agents civils et militaires selon les données officielles. Cette stabilité des effectifs accompagne la stratégie de maîtrise des coûts mise en œuvre depuis deux ans.
Reconnaissance institutionnelle des efforts
La Cour des comptes a salué les "progrès en matière d'organisation et de gestion" réalisés par l'Élysée en 2024 dans son rapport publié en juillet. Ces félicitations officielles valident la politique de rationalisation menée par la présidence de la République.
Le gel budgétaire témoigne de la volonté présidentielle de montrer l'exemple en matière de rigueur financière. Cette mesure d'austérité présidentielle intervient dans un contexte national de restrictions budgétaires généralisées.
Sources utilisées : "La Tribune Dimanche", "Cour des comptes" Note : Cet article a été édité avec l'aide de l'Intelligence Artificielle.