La flottille pour Gaza entre dans la zone à haut risque

upday.com 2 godzin temu
Un drapeau palestinien géant déployé dans le port de Gęnes où les navires de la "Global Sumud Flotilla" se préparent à partir vers Gaza (Image symbolique) (Photo by Federico SCOPPA / AFP) (Photo by FEDERICO SCOPPA/AFP via Getty Images) Getty Images

La flottille humanitaire "Global Sumud" est entrée mercredi matin dans une "zone à haut risque" en se dirigeant vers Gaza. Les organisateurs signalent une intensification inquiétante de l'activité des drones au-dessus de leurs navires à l'approche de leur destination. L'alerte maximale a été décrétée à 03h03 du matin, marquant l'entrée dans une zone où des flottilles précédentes ont été attaquées ou interceptées.

Selon TGCOM24, plus de 50 navires composent cette flottille internationale qui vise à acheminer de l'aide humanitaire vers Gaza. La mission affiche ouvertement son objectif de "briser le blocus israélien" imposé à l'enclave palestinienne. D'après Le Figaro, l'activiste écologiste suédoise Greta Thunberg participe à cette opération controversée.

Tentatives précédentes bloquées

Cette nouvelle tentative survient après deux échecs en juin et juillet, lorsqu'Israël avait bloqué des initiatives similaires. Les forces navales israéliennes se préparent à intercepter la flottille en eaux internationales selon les sources concordantes. La députée européenne italienne Benedetta Scuderi livre un témoignage direct depuis l'un des navires selon TGCOM24.

L'opération se déroule dans un contexte humanitaire dramatique à Gaza. Les Nations unies ont déclaré l'état de famine dans une partie de la bande de Gaza en août dernier. Cette crise alimentaire s'inscrit dans le cadre de la guerre dévastatrice déclenchée par l'attaque du Hamas sur le sol israélien le 7 octobre 2023.

Tensions diplomatiques croissantes

La participation d'élus européens à cette mission suscite des préoccupations diplomatiques. Le gouvernement italien a exprimé ses inquiétudes concernant les risques pour le processus de paix selon les rapports officiels. Les organisateurs défendent néanmoins la légitimité de leur mission humanitaire face aux restrictions imposées à Gaza depuis 2007.

Sources utilisées : "Le Figaro", "TGCOM24" Note : Cet article a été édité avec l'aide de l'Intelligence Artificielle.

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