L'équipe de France a consolidé sa position en tęte du groupe D des éliminatoires de la Coupe du monde 2026 avec une victoire 2-1 face à l'Islande au Parc des Princes mardi soir. Les Bleus totalisent désormais six points en deux matchs et se rapprochent de la qualification pour le Mondial organisé aux États-Unis, au Canada et au Mexique.
Manu Koné, auteur d'une performance remarquable avec six récupérations de balle selon L'Équipe, a résumé avec humour la satisfaction tricolore : « Très bon sur le plan comptable ? Très bon, si on fait les calculs, trois plus trois, ça fait six. » Le milieu de terrain, qui a totalisé 90 touches de balle, s'impose comme un élément incontournable de la sélection française.
Résilience malgré l'infériorité numérique
Le carton rouge d'Aurélien Tchouaméni a compliqué la tâche des Français, contraints d'évoluer à dix contre onze une partie de la rencontre. « Le rouge a ajouté une difficulté, mais on tenait le match avant cela, il dépendait de nous », a expliqué Koné. L'équipe a su maintenir son avantage grâce à sa détermination collective selon les joueurs interrogés.
Malo Gusto a salué le caractère affiché par ses coéquipiers face à une équipe islandaise coriace. « Quand on joue des matchs comme ça, beaucoup de seconds ballons, beaucoup de combats, une équipe qui a quand męme bien poussé en deuxième mi-temps, le caractère est important », a souligné le défenseur.
Optimisme prudent pour la qualification
D'après rmcsport, la France pourrait sceller sa qualification dès octobre avec deux victoires accompagnées d'un match nul entre l'Islande et l'Ukraine. Cette perspective favorable n'empęche pas les joueurs de rester prudents quant à leurs ambitions mondialistes.
« On ne se voit pas déjà là-bas, męme si vous (les journalistes) nous voyez déjà là-bas », a tempéré Koné avec un sourire. « Nous, on est très lucides, on sait qu'on doit gagner les matchs. » Cette approche mesurée contraste avec l'optimisme ambiant autour de l'équipe tricolore.
Défis tactiques surmontés
Comme le rapporte rmcsport, Didier Deschamps a critiqué le manque de « percussion et de vitesse » de son équipe face au bloc bas islandais. Les Bleus ont eu besoin d'un temps d'adaptation pour créer des occasions franches contre cette organisation défensive compacte.
Koné reconnaît ces difficultés initiales : « Il a fallu un temps d'adaptation. Il fallait plus se créer des occasions, plus aller vers l'avant, en un contre un, créer des situations de centre… » La présence de Kylian Mbappé et Marcus Thuram a finalement fait la différence dans les moments décisifs.
Sources utilisées : "L'Équipe", "rmcsport", "Le Figaro" Note : Cet article a été édité avec l'aide de l'Intelligence Artificielle.
