La cour d'assises des Landes a condamné Maylis Daubon à 30 ans de réclusion criminelle mercredi. La mère est reconnue coupable d'avoir empoisonné ses deux filles avec des médicaments, entraînant la mort de l'une d'entre elles, Enea, âgée de 18 ans. Le tribunal a prononcé une période de sûreté de 20 ans.
La présidente de la cour d'assises, Emmanuelle Adoul, a justifié la décision majoritaire «au regard de la gravité des faits, de la mort d'Enea, de leur durée, des modes opératoires et des préjudices pour les parties civiles». Cette période de sûreté dépasse les 15 ans initialement requis par le parquet.
L'avocat générale avait dénoncé la «soumission chimique» qu'a subie la fille aînée avant sa mort. L'accusation a mis en évidence la durée des actes et les méthodes employées par la mère pour administrer les substances toxiques à ses enfants.
Note : Cet article a été créé avec l'Intelligence Artificielle (IA).








