Emmanuel Macron défend Brigitte face aux rumeurs transphobes

upday.com 4 godzin temu
Le président Emmanuel Macron et la Première dame Brigitte Macron lors d'une cérémonie officielle, illustrant leur unité face aux polémiques (Image symbolique) (Photo by MIGUEL MEDINA/POOL/AFP via Getty Images) Getty Images

Emmanuel Macron dénonce fermement les rumeurs transphobes visant son épouse Brigitte dans un entretien accordé à Paris Match publié ce mardi 19 août. "Il s'agit de défendre mon honneur ! Parce que c'est n'importe quoi", déclare le président français face à ces allégations de transidentité qui circulent depuis 2021.

Le chef de l'État explique les raisons de sa réaction publique. "Il est question de faire respecter la vérité. On parle de l'état civil de la Première dame de France, d'une épouse, d'une mère de famille, d'une grand-mère", affirme-t-il. "Ce n'est pas la liberté de parole que de vouloir empęcher de restaurer la vérité", ajoute Emmanuel Macron.

Escalade internationale

L'ampleur prise par ces fausses informations aux États-Unis a motivé l'action juridique du couple présidentiel. "Au début, c'était en France. On nous a recommandé de ne pas déposer plainte. [...] Mais cela a pris une telle ampleur aux États-Unis que nous nous devions de réagir", explique le président.

Le couple a porté plainte contre l'éditorialiste américaine Candace Owens, figure conservatrice pro-Trump qui a largement propagé ces rumeurs outre-Atlantique. Selon Voici, ces théories conspirationnistes prétendent que Brigitte Macron serait née sous le nom de "Jean-Michel Trogneux" et remontent à fin 2021.

Motivations idéologiques

Emmanuel Macron dénonce les intentions malveillantes derrière cette campagne de désinformation. "C'est quelqu'un qui savait très bien qu'elle détenait des informations fausses et le faisait dans le but de nuire, au service d'une idéologie et avec des connexions établies avec des dirigeants d'extręme-droite", accuse-t-il.

D'après La Dépęche, Natacha Rey et Amandine Roy, deux femmes qui avaient contribué à propager ces rumeurs, ont été relaxées par la cour d'appel de Paris le 10 juillet 2025. Toutefois, selon Voici, deux autres femmes avaient été condamnées en septembre 2024 pour complicité de diffamation publique dans des affaires similaires.

Impact familial

Selon Voici, Tiphaine Auzière, belle-fille de Brigitte Macron, s'inquiète du niveau de la société quand de telles rumeurs circulent sur sa mère. Cette dimension personnelle souligne l'impact de ces théories conspirationnistes au-delà de la sphère politique.

Le président insiste sur la nécessité de cette bataille juridique pour protéger la dignité de son épouse et rétablir la vérité face aux campagnes de désinformation internationale.

Sources utilisées : "Paris Match", "La Dépęche", "Voici" Note : Cet article a été édité avec l'aide de l'Intelligence Artificielle.

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