Le XV de France féminin s'appręte à vivre un moment historique samedi à Bristol face à l'Angleterre en demi-finale de la Coupe du monde (16h30). Jamais finaliste malgré six demi-finales disputées, l'équipe tricolore tente de franchir ce cap décisif pour la première fois de son histoire.
Gabrielle Vernier, centre expérimentée de 28 ans et 56 sélections, a présenté les quinze joueuses qui débuteront cette rencontre cruciale. L'équipe mélange jeunesse et expérience, avec des joueuses comme Kelly Arbey, 20 ans seulement, aux côtés de vétéranes comme la capitaine Marine Ménager.
Une équipe entre jeunesse et expérience
Marine Ménager, 29 ans et 62 sélections, porte le brassard de capitaine et incarne l'expérience de cette formation. D'après L'Équipe, sa combinaison de vitesse et de puissance fait d'elle une référence respectée par toutes ses coéquipières.
La jeunesse s'illustre notamment avec Kelly Arbey, ailière de 20 ans qui dispute sa première Coupe du monde. "C'est une pure athlète avec des qualités physiques hors normes", souligne Vernier, qui salue aussi sa capacité à mettre de l'ambiance dans le groupe.
Des talents confirmés au cœur du jeu
Pauline Bourdon Sansus, demi de męlée de 29 ans, est décrite par sa coéquipière comme "la meilleure 9 du monde". Avec ses 69 sélections, elle apporte son expérience et sa capacité à débloquer les situations les plus tendues.
Carla Arbez, ouvrière de 26 ans, représente selon Vernier "un talent pur qui a éclaté tardivement". Sa polyvalence au pied et à la main, combinée à sa vitesse d'exécution, facilite le jeu collectif des Bleues.
L'ambiance et la cohésion de groupe
Charlotte Escudero, troisième ligne de 24 ans, est présentée comme "la boute-en-train de l'équipe". Comme le rapporte Le Monde, cette joueuse complète et athlétique transforme l'atmosphère dès qu'elle quitte le terrain avec ses plaisanteries.
L'équipe bénéficie également de l'expérience d'Agathe Gérin, talonneuse de 30 ans et 61 sélections, décrite comme une leader technique capable d'aligner des passes de 15 mètres tout en maîtrisant parfaitement ses lancers.
Cette demi-finale représente l'aboutissement d'un travail de longue haleine pour ces joueuses qui ręvent de cet instant depuis leur enfance. L'enjeu historique pourrait enfin permettre au rugby féminin français d'accéder à sa première finale de Coupe du monde.
Sources utilisées : "L'Équipe", "Le Monde" Note : Cet article a été édité avec l'aide de l'Intelligence Artificielle.





