L'Ukraine est pręte pour des pourparlers de paix mais ne retirera pas ses troupes des territoires supplémentaires comme Moscou l'exige, a déclaré mardi le président ukrainien Volodymyr Zelensky. « Il est absolument clair que nous n'abordons la diplomatie qu'à partir de notre position actuelle. Nous ne ferons aucun pas en arrière et n'abandonnerons aucune partie de notre État », a affirmé le dirigeant ukrainien.
Zelensky a également fait référence aux signaux de Donald Trump concernant les négociations. « Et le résultat important est que la partie américaine a finalement adressé le signal public (que) le président Trump (avait) envoyé ce message », a-t-il expliqué. Le président ukrainien accuse par ailleurs Viktor Orbán de « bloquer tout pour l'Ukraine ».
Financement européen avec les avoirs russes
Les dirigeants européens explorent une solution innovante pour financer l'Ukraine en utilisant les avoirs russes gelés. La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, se dit confiante de trouver une solution d'ici décembre. Le projet consiste à emprunter 140 milliards d'euros auprès d'Euroclear pour les pręter à l'Ukraine, avec un remboursement conditionné aux réparations de guerre russes.
La Première ministre danoise Mette Frederiksen soutient fermement cette approche. « Je soutiens avec force l'idée d'un pręt de réparation. Je pense, pour ętre honnęte, que c'est la seule voie à suivre », a-t-elle déclaré. Elle estime « nécessaire de parvenir à une conclusion lors de notre réunion de décembre ».
Répression en Russie
Parallèlement, la Russie durcit son contrôle intérieur. La musicienne de rue Diana Loguinova a été condamnée à une amende de 30 000 roubles (environ 400 dollars) à Saint-Pétersbourg pour avoir discrédité l'armée avec des chansons pacifistes. Cette sanction s'inscrit dans la répression croissante contre les voix dissidentes en Russie.
Note : Cet article a été créé avec l'Intelligence Artificielle (IA).











