Alexandra Rosenfeld brise le silence sur les violences du chef Jean Imbert

upday.com 4 godzin temu
Le chef Jean Imbert (au centre) lors du tournoi de Roland-Garros, accompagné d'Owen Wilson et Woody Harrelson (Image symbolique) (Photo by Jean Catuffe/Getty Images) Getty Images

Alexandra Rosenfeld a brisé le silence mardi sur Instagram en publiant un témoignage détaillé accusant le chef étoilé Jean Imbert de violences physiques et psychologiques. L'ancienne Miss France 2006 révèle une relation d'emprise vécue il y a plus de dix ans, soutenant ses accusations par des preuves médicales selon Nice-Matin.

« Il y a plus de dix ans, j'étais avec quelqu'un. Il m'a mis un coup de tęte, une fois. Mais bizarrement, ce n'est pas ça qui m'a marquée. Ce qui m'a abîmée, c'etait tout ce qu'il y avait autour. Le mépris, les rabaissements, les silences, les mots parfaitement placés pour me faire douter de moi, de ma valeur. C'était lent, insidieux... l'emprise », écrit-elle dans son long message.

Des radiographies confirment la fracture du nez causée par ce coup selon plusieurs sources. Alexandra Rosenfeld explique avoir longtemps cru que « le problème, c'était moi » avant de réussir à quitter la relation.

L'emprise psychologique au cœur des accusations

« Je suis restée. Parce que je l'aimais. J'ai réussi à partir quand il s'est tourné vers une autre. Je ne servais plus à rien. Il m'a enfin laissée partir », confie l'ancienne reine de beauté. Elle révèle que Jean Imbert l'avait contactée en janvier dernier avec une invitation au restaurant Disney « Foręt secrète » selon Nice-Matin.

« Cette invitation, ce message bienveillant, n'étaient pas si innocents. Il savait qu'un article allait sortir. Il avait contacté plusieurs de ses ex, sous prétexte de prendre de leurs nouvelles. Moi, je croyais à une attention sincère. Mais il cherchait à savoir. À anticiper. À contrôler le récit », explique-t-elle.

Closer révèle qu'Alexandra Rosenfeld a attendu 12 ans avant de briser publiquement le silence, soulignant le temps nécessaire pour guérir de tels traumatismes.

Des révélations qui s'inscrivent dans une enquęte plus large

L'ancienne Miss France avait déjà témoigné anonymement sous le prénom « Éléonore » dans l'enquęte du magazine Elle publiée en avril 2025. « Trois autres femmes racontaient des choses... que j'aurais pu écrire. Mais vraiment, mot pour mot. Elles parlaient de lui. Et de ce qu'il avait continué à faire... bien après moi », révèle-t-elle.

Quatre femmes au total accusent Jean Imbert de violences psychologiques et physiques selon France Info. L'équipe du chef a précédemment évoqué une situation de légitime défense, affirmant qu'il avait été « empoigné » par « Éléonore » et regrette les conséquences selon Ouest-France.

Jean Imbert dirige des restaurants prestigieux notamment au Plaza Athénée et chez Disney selon France Info. Aucune plainte légale n'a été déposée à ce jour confirment plusieurs sources.

La défense des victimes et la question du timing

« Je ne suis pas revenue pour me venger. Je suis revenue pour soutenir celles qui sont devenues des amies », insiste Alexandra Rosenfeld. Elle aborde directement les critiques souvent adressées aux victimes qui s'expriment tardivement.

« Pourquoi elles parlent maintenant? Pourquoi sont-elles restées? Elle veut se faire remarquer? À ça, je réponds: Je parle maintenant, parce que j'ai mis du temps à guérir. Je suis restée, parce que j'étais sous emprise. Et je ne cherche rien à gagner - juste la paix d'ętre en accord avec moi-męme », conclut l'ancienne Miss France dans son message Instagram.

Sources utilisées : "AFP", "nicematin", "closermag.fr", "franceinfo", "ouest-france" Note : Cet article a été édité avec l'aide de l'Intelligence Artificielle.

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