Bruno Retailleau a annoncé mercredi 3 septembre en conseil des ministres la dissolution de l'Institut européen des sciences humaines (IESH). Le ministère de l'Intérieur accuse cette école d'imams située en Bourgogne de promouvoir un "islam radical" et de légitimer le "djihad armé".
L'établissement d'enseignement théologique et coranique fait l'objet de soupçons de liens avec la mouvance des Frères musulmans selon Le Figaro. Cette décision gouvernementale s'inscrit dans une campagne plus large contre l'influence de cette organisation en France.
Surveillance de longue durée
L'institut était sous surveillance depuis plusieurs années avant cette dissolution d'après Libération. Le Monde confirme que cette action représente une nouvelle étape dans la lutte contre l'influence des Frères musulmans sur le territoire français.
Le gouvernement positionne cette mesure comme nécessaire face aux menaces sécuritaires selon les experts. Ouest-France rapporte que l'IESH était particulièrement visé pour ses enseignements suspects et ses connexions présumées avec des réseaux radicaux.
Portée de la décision
Cette dissolution s'inscrit dans la continuité de la politique sécuritaire du ministère de l'Intérieur selon Sud Ouest. L'action gouvernementale témoigne d'une approche systématique contre les institutions soupçonnées de promouvoir l'extrémisme religieux.
Les autorités considèrent cette mesure comme une étape importante dans la prévention de la radicalisation selon les sources officielles. La fermeture de l'institut marque un tournant dans la surveillance des établissements d'enseignement religieux en France.
Sources utilisées : "Ouest-France", "Libération", "Le Figaro", "Le Monde", "Sud Ouest"
Note : Cet article a été édité avec l'aide de l'Intelligence Artificielle.