Caroline Grandjean, directrice d'école de 42 ans, s'est suicidée lundi 1er septembre dans le Cantal, jour de la rentrée scolaire. D'après Ouest-France, cette tragédie survient après plusieurs années de harcèlement à caractère homophobe subi par l'enseignante.
La victime dirigeait une école à classe unique dans le village de Moussages, comme le rapporte France Info. Le harcèlement homophobe qu'elle a enduré pendant plusieurs années avait considérablement affecté sa vie professionnelle selon les témoignages recueillis.
Le témoignage poignant de l'épouse
L'épouse de Caroline Grandjean a livré son premier témoignage public sur France 2, pointant du doigt le manque de soutien de la hiérarchie. Selon BFM TV, elle dénonce l'échec du ministère de l'Éducation nationale à comprendre la souffrance de sa compagne.
Ce témoignage met en lumière les défaillances institutionnelles face au harcèlement subi par l'enseignante. L'épouse regrette particulièrement l'absence de soutien concret de la part des autorités éducatives, d'après les sources concordantes.
Portrait d'une enseignante dévouée
Caroline Grandjean était décrite par ses proches comme une « enseignante passionnée », totalement investie dans sa profession. Sud Ouest confirme que sa dévotion envers l'éducation et ses élèves était reconnue de tous dans la communauté scolaire.
Cette tragédie questionne désormais la capacité du système éducatif à protéger ses personnels. Les membres de la communauté locale s'interrogent sur les mesures qui auraient pu ętre prises pour éviter ce drame, selon France Info.
Sources utilisées : "Ouest-France", "BFM TV", "Sud Ouest", "France Info" Note : Cet article a été édité avec l'aide de l'Intelligence Artificielle.