Une mission d'enquęte des Nations unies a accusé jeudi la Garde nationale bolivarienne (GNB) du Venezuela de « graves violations des droits humains et de crimes contre l'humanité » commis depuis plus de dix ans. Le rapport met en lumière des exécutions, des détentions arbitraires et des actes de torture perpétrés par les membres de cette force militaire chargée de l'ordre public.
La mission onusienne dénonce dans son dernier rapport des « détentions arbitraires, des violences sexuelles et sexistes, ainsi que des actes de torture et d'autres traitements cruels, inhumains ou dégradants lors d'opérations (...) menées dans le contexte de manifestations et d'actions de persécution politique ciblée depuis 2014 ». Les violations recensées couvrent une période de plus de dix ans.
Contexte de l'enquęte
La mission d'établissement des faits mandatée par l'ONU a été créée en 2019. Elle documente depuis lors les violations des droits humains au Venezuela, notamment celles commises par la GNB lors d'opérations de répression des manifestations et de persécution politique ciblée.
Note : Cet article a été créé avec l'Intelligence Artificielle (IA).
