Les négociations mondiales pour un traité contre la pollution plastique ont échoué ce vendredi 15 août à Genève. Après dix jours de pourparlers diplomatiques tendus, les 185 pays représentés n'ont pas trouvé de consensus selon Le Figaro.
Le coprésident norvégien d'un groupe défendant un traité "ambitieux" a annoncé l'échec en ouverture de la réunion plénière. "Nous n'aurons pas de traité sur la pollution plastique ici à Genève.", a-t-il déclaré d'après Le Parisien.
Réactions européennes divisées
La ministre française de la Transition écologique Agnès Pannier-Runacher s'est dite "déçue" et "en colère" après l'échec des négociations selon Huffington Post. Cette réaction illustre la frustration européenne face au blocage des discussions.
La Commissaire européenne Jessika Roswall a néanmoins maintenu que Genève avait établi "une bonne base" pour de futures négociations malgré l'échec. Cette position témoigne d'un optimisme européen pour la suite du processus d'après Huffington Post.
Enjeux environnementaux urgents
Les projections de l'OCDE montrent que la production plastique pourrait tripler d'ici 2060, passant de 450 millions de tonnes actuellement selon Ouest-France. Ces données soulignent l'urgence d'une action internationale coordonnée.
L'expert Tim Gabriel de l'Environmental Investigation Agency a accusé les États pétroliers d'utiliser "toutes les tactiques déloyales du manuel multilatéral pour retarder, tromper, tergiverser et détruire" les négociations d'après Ouest-France.
Sources utilisées : "Le Parisien", "Ouest-France", "Huffington Post", "La Dépęche", "Le Figaro"
Note : Cet article a été édité avec l'aide de l'Intelligence Artificielle.
