Le Paris Saint-Germain a remporté la Supercoupe d'Europe mercredi soir à Udine face à Tottenham (2-2, 4 tirs au but à 3), devenant le premier club français de l'histoire à soulever ce trophée. Une victoire arrachée au bout du suspense après une remontée spectaculaire dans les dernières minutes du temps réglementaire.
Les Parisiens étaient pourtant menés 2-0 à cinq minutes de la fin, grâce aux buts de Mickey van de Ven (39e) et Cristian Romero (48e). Mais Lee Kang-in (85e) puis Gonçalo Ramos (90e+4) ont égalisé pour envoyer la rencontre aux tirs au but, remportés 4-3 par le PSG.
Début difficile pour Chevalier
Lucas Chevalier a vécu des débuts contrastés sous le maillot parisien. Le nouveau gardien, qui remplace Gianluigi Donnarumma absent de l'effectif, s'est montré fautif sur les deux buts de Tottenham mais a sauvé les siens en arrętant le tir au but de van de Ven.
D'après RMC Sport, ses coéquipiers Marquinhos et Ousmane Dembélé lui ont immédiatement apporté leur soutien, démontrant l'unité du groupe. Le Français a réalisé plusieurs arręts importants face à Richarlison (23e, 47e) malgré une défense souvent dépassée.
Aveu de faiblesse de Luis Enrique
L'entraîneur parisien s'est montré d'une franchise rare après la victoire : « Pour ętre honnęte, on ne mérite pas ce trophée. On a pu voir la différence entre une équipe comme Tottenham qui a eu six semaines d'entraînement et nous avec seulement six jours. C'est une telle différence. »
Cette disparity de préparation était visible sur le terrain. Comme le souligne Footmercato, le manque de cohésion tactique du PSG contrastait avec l'organisation des Spurs, de retour à l'entraînement dès le 5 juillet avec six matches amicaux disputés.
Performance individuelle décisive
Ousmane Dembélé a été le seul Parisien à surnager dans cette première partie de saison difficile. L'attaquant français, grand favori pour le Ballon d'Or selon les médias spécialisés, a délivré une passe décisive magnifique pour Ramos et régalé par ses ouvertures en première période.
Le milieu de terrain parisien, pourtant l'arme maîtresse de l'équipe en 2024-2025, a eu beaucoup de peine à imposer sa loi avant de se réveiller dans les ultimes minutes. Un signe de la résilience de cette équipe insubmersible malgré le manque de souffle.
Sources utilisées : "RMC Sport", "Footmercato", "Le Parisien", "Nice Matin", "HuffPost France" Note : Cet article a été édité avec l'aide de l'Intelligence Artificielle.
