Donald Trump a annoncé dimanche "quelque chose de spécial, une première" dans les négociations pour la paix au Moyen-Orient. Cette déclaration intervient à la veille d'une visite de Benjamin Netanyahu à la Maison Blanche.
"Nous avons une réelle chance d'atteindre quelque chose de grand au Moyen-Orient. Tout le monde est pręt pour quelque chose de spécial, une première. Nous allons y arriver", a écrit le président américain sur Truth Social. Trump avait déjà évoqué vendredi avoir "un accord" sur Gaza après avoir présenté un nouveau plan de paix.
Plan américain en 21 points
Le président américain promet que l'accord "ramènera les otages" et "mettra fin à la guerre". Selon une source diplomatique, le plan américain en 21 points prévoit un cessez-le-feu permanent à Gaza et la libération des otages israéliens détenus dans le territoire palestinien.
Le plan inclut également un retrait israélien et une future gouvernance de Gaza sans le Hamas. Des médias britanniques rapportent que l'ancien Premier ministre Tony Blair pourrait jouer un rôle de premier plan au sein d'une future autorité de transition à Gaza.
Netanyahu fustige la reconnaissance palestinienne
À la tribune de l'ONU vendredi, Benjamin Netanyahu a critiqué la reconnaissance de l'État de Palestine par une dizaine de pays cette semaine. La France, le Royaume-Uni, le Canada et l'Australie figurent parmi ces nations selon l'AFP.
La création d'un État palestinien serait un "suicide national" pour Israël, a déclaré le Premier ministre israélien. Netanyahu a promis de "finir le travail" contre le Hamas "aussi vite que possible" dans la bande de Gaza ravagée par près de deux ans de guerre.
Bilan humain du conflit
L'attaque du 7 octobre 2023 a entraîné la mort de 1 219 personnes du côté israélien, en majorité des civils, selon un bilan établi par l'AFP. Sur les 251 personnes enlevées lors de l'attaque, 47 sont toujours retenues à Gaza, dont 25 considérées comme mortes par l'armée israélienne.
L'offensive israélienne menée en représailles sur Gaza a fait 66 025 morts, en majorité des civils. Ces chiffres du ministère de la Santé du gouvernement du Hamas sont jugés fiables par l'ONU.
Sources utilisées : "AFP" Note : Cet article a été édité avec l'aide de l'Intelligence Artificielle.